Je vous offre ce poème :

il n'est pas de moi;

je ne suis pas assez douée,hélas!

OSER LE RISQUE !

Sourire...

c'est prendre le risque de paraître ridicule.

 
Pleurer...

c'est prendre le risque de paraître sentimental
 Tendre la main vers l'autre...

 c'est prendre le risque de s'impliquer.
Faire voir ses sentiments...
 c'est prendre le risque de montrer son véritable soi.
Étaler ses idées, ses rêves devant la foule...

c'est risquer de ne pas être aimé en retour.

Vivre, c'est risquer de mourir.

Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer l'échec. 

Mais les risques doivent être courus,
 parce que le plus grand risque dans la vie,
 c'est de ne rien risquer.

La personne qui ne risque rien ne fait rien,

Quelqu'un peut éviter la souffrance et le chagrin,

 
mais ne peut alors apprendre à ressentir, à changer,
à grandir, à aimer, à vivre.

Enchaîné par les certitudes, l'individu est un esclave
qui a renoncé à la liberté.

Seul l'individu qui risque est vraiment libre.

        Le temps passe et j'ai du mal à me remettre de cette laryngite carrabinée qui m'a clouée au lit jeudi dernier.

Je ne sais pas si vous avez le remède miracle mais j'ai un mal de tête et je suis très fatiguée.

Bon c'est bientôt les vacances alors

je vais pouvoir me reposer.

En attendant des jours meilleurs, je vous offre ce petit poème trouvé sur le net.

Nostalgie de Noël

Il fut un temps où ça semblait si facile
De réunir, toute la famille
Il y avait de la place pour tous les amis
Pour toute la famille qu’on s’était construit.

Pour certaines gens qu’on voyait rarement
Mais obligatoirement au Jour de l’An
Y’avait aussi nos circonstanciels
Qu’on voyait toujours le soir de Noël.

Aujourd’hui, il y a moins de participants
Un lien familial un peu moins grand
Mais on s’amuse souvent autant
Que si on était arrivés deux cents.

Nous réunir est encore important
Mais on le fait moins souvent
Quand on se permet d’assister
C’est qu’on veuille d’abord s’amuser.

Toutefois, on ne compte plus les fois
Ou dans une seule année on se voit
On ne vit plus sous les mêmes conditions
On a laissé tomber les traditions.

Ce qui, est d’abord notre famille
Ce sont nos garçons et nos filles
On a laissé tomber, voisins, cousins
Mais c’est dommage, qu’on se voit moins.

Texte Claude Marcel Breault.

BONNE JOURNEE.

Et voilà!

Après une inspection brillante, me voici clouer au lit.

Je n'ai plus de voix, je tousse et

j'ai un mal de tête à me taper contre un mur.

J'ai ou trop chaud ou  trop froid

avec mes bouffées de chaleur au milieu...

J'ai rendez- vous chez la toubib à 11 h.

Je parie qu'elle va encore me donner de la cortisone.

Je vais me reposer et ça ira mieux demain .

Et puis cela m'a permis d'écrire

un petit article pour vous demander :

"Comment allez-vous les filles ?".

Je vous souhaite une bonne journée et

je vous envoie une brouette de bisous.